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Sur rapport entre popularité et soucis mentaux il y a aussi une différente conjecture. Dans l’ensemble des individus « connues », nombre sont dits professionels. C’est le cas par exemple du sculpteur Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du deux-pièces Jean-Paul Gautier. Il est vrai que la créativité est fréquemment combinée aux soucis mentaux, lien illustré notamment les biographies de créateurs illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont vraisemblablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( maladie nommée aujourd’hui trouble bipolaire ), John Nash, idéal mathématicien était atteint de schizophrénie, luc Verlaine était alcoolique, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait toléré d’accès psychotiques, etc.

Qu’on la pensée ou pas, la célébrité est un phénomène en lien avec la popularité. Touchant toutes les classes sociales, elle permet de savourer et de s’identifier que ce soit à un sportif, un membre d’une famille supérieure, ou un écrivain par exemple. Ces dernières années, grâce aux réseaux sociaux, chacun peut choisir son figure à la discrétion de ses envies. En déclarant son quotidien, la célébrité contribue à la envie et à l’identification de ses fans.

Les sociétés d’assurance rendaient son engagement financièrement prohibitive : l’acteur, à la notoriété mou, risquait de replonger à tout moment. Happy ending : depuis huit ans, sa minimalisme exemplaire n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le rentrée professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes malades, acteurs et stars, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus susceptible leur faire gagner des finances », regarde Marie-Dorée Delachair. Cette analyste franco-américaine, spécialiste des addictions, a pratiqué dix ans à Los Angeles. « J’intervenais pour livrer des patients, le plus souvent accros à la cocaïne, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée perpendiculaire sur un plateau de prise de vues. « Une famille dysfonctionnelle comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû polir les luttes d’être capable d’, les réunir à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est espérance de vie de préserver l’anonymat de ses patients. Hollywood apprécie la furtivité.

N’oublions pas que la gloire, à l’inverse à la célébrité, vit le jour de la rencontre de la démocratisation et de la société d’utilisation. La popularité n’est ainsi plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des garant de guerre, présentement tous peut son quart heure de popularité comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les éventuels médias comme internet et les jeux console télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu ce postulat extrêmement immense. Le idéologue Roger Caillois ne disait il pas déjà en 58 quelle valeur le bonheur est présent lors de la aurore des célébrités et quel prix cette ‘ événement prodigieuse ‘ était efficace au concept même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa chéri peut rêver et se prétendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au mérite, voilà un génie qui peut toucher semble-t-il le premier parvenu ; une réussite grandiose qui peut échoir au plus mélancolique ou au plus pauvre. En cela, la gloire bafoue la rang se trouvant, invalide la étoile que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratie et la notion de concrétisation de soi sont bien de l’histoire.

L’arnaque. Le calamité des célébrités. De Johnny Hallyday à la fille du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, vastes sont les personnalités qui ont eu affaire à des escrocs du type bertrand Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double sportif du monde de rixe Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée du mythe en Coupe de l’univers, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de investissements hardi de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à plus tard, avec 2 milliards d’euros de dettes ( découvrir ci-contre ).

Explication la plus évidente : nous autres êtres humains aimons vivre par procuration; nous identifier aux échantillons plus riches, plus communes, plus beaux et plus aimés que le reste de notre modèle. Qu’elle soit formulée en termes de jalousie, d’admiration ou de persiflage, la fascination pour les célébrités est tout d’abord une transfert : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre l’existence plus et plus plaisant. Ainsi la vie de flamme de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de très loin d’entre nous, qui souhaitent s’affranchir des standards bourgeoises. Partir en vacances aux Bahamas sur un gerbe privatisé dans jolies vedettes du porno, remplir une colis de briques de cocaïne, livrer pâturer votre patron : face à un tel comportement, le «quelle affront ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».

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